Espace publique : s’y taire (on a déjà les effluves) 

C’est pas le plus grand salon de lecture au monde mais c’est le plus fréquenté.

ANNONCE DE WATER CAUSETTES 

Indispensable et à placer sur la porte des WC dans toutes les familles  - 

Petite réflexion séculière sur un lieu ô combien singulier où nous passons tous un temps certain, parfois en situation d’urgence principalement dans le foyer . 

Et puisque l’on parle du rire 

Sourire, s’esclaffer, badiner, rigoler, glousser, plaisanter, pouffer sont tous les ingrédients avec lesquels nous pouvons nuancer notre humeur et notre humour, nous avons quand même le choix au restaurant du rire, les menus sont variés. Le rire c’est la vie à la carte.

A l’instar du rire, les choses se voient surtout de l’extérieur. Pour les voir de l’intérieur comme le dirait un stratège militaire célèbre, qui lui ne riait pas mais était contemporain à défaut d’être un content poreux, il faut leur rentrer dedans. Parfois les choses sont belles de l’extérieur comme de l’intérieur, parfois seulement, pas toujours. Les musées, comme le Louvre par exemple, sont beaux des deux côtés, pour ceux qui ne sont pas au courant à notre ère, dedans et côté cour, moi je préfère dedans il y a moins de courants d’air.Toutefois c’est vrai le côté court. 

De surcroît, dedans, on a le bénéfice de profiter du sourire si tangible de la Joconde à qui d’ailleurs on a jamais rien demandé. Et dont on ne sait toujours pas si elle arbore un sourire branchu et arborescent mais qui date quand même, vu qu’elle ne décoince pas depuis. Ce n’est pas au travers d’un codage ou d’un décodage qu’elle est à même de trahir le mystère de son fameux sourire. Tout simplement si ça se trouve, la veille elle avait mangé trop épicé et son rictus n’est que le reflet de son transit perturbé, qu’elle masque difficilement. Mais peut être rit-elle vraiment. 

Alors qu’au dehors on assiste au spectacle affligeant des sourires mécaniques d’appareils photos nippons, manipulés par les fabricants de la même marque, eux même affublés du même sourire et qui mangent également très épicés, ce qui expliquerait ce plissement réduit à la forme d’un grain de riz de leur outil visuel (d’où l’expression),  et qui mitraillent sans cesse comme ……… des mitraillettes.

Le japon est numéro un de la photo, les japonais aussi. D’ailleurs ils ont un problème de stockage maintenant, dû à la petitesse de leur île qui est aussi nippone qu’étroite. Rien à voir avec ma voiture qui est spacieuse mais qui est nippone. Pour tout dire les japonais envoient tout ce qu’ils fabriquent chez les autres, pour faire de la place. Ils sont champions du monde, en judo et en faiseur de place, sauf que cette dernière n’est pas une discipline au JO !.  

C’est comme cela que l’histoire vous rattrape, pas comme grand-père qui n’a plus ses jambes d’antan vu qu’il est paraplégique ; on comprends mieux le désir, celui des japonais, tout en courant avec sobriété, sinon ils étaient saqués, d’agrandir leur unité de stockage en prenant une petite partie de la chine, en bas à droite sur la carte.  Les chinois n’ont jamais accepté, en grimaçant et plissant des yeux, car eux aussi voulaient faire des photos.  

Pourtant, photo génétiquement parlant quand on prend en photo un chinois ou un japonais simultanément, ils sont naturellement photogéniques. A condition qu’ils soient l’un à côté de l’autre ce qui est très difficile, car si ils ont une acuité visuelle supérieure peut être due à la forme de leurs yeux, ils ne s’entendent pas. Ils se vouent même une haine ancestrale et heureusement qu’il ne font pas leur service militaire ensemble car on entendrait sans cesse « à poil l’haineux » dans toutes les chambrées. 

Ils affichent tous les deux un sourire d’indifférenciation. Et si n’étant pas issus de la même mère ils se séparent naturellement, grâce aussi au secours de leur mer respective, la mer du japon et la mer de chine, on a du mal à les dissocier. C’est pourquoi dans un grand magasin si le petit HUENG FU réclame sa mère préciser laquelle. Tout comme pour le petit Mamadou  qui ne réclame rien, juste à manger, et qui de toute façon ignore souvent qui est son père mais que l’on pourrait confondre avec n’importe quoi sauf ma règle qui s’appelle revient. C’est la troisième règle que Bernard me perds (véridiquement vécu – Vincent D. 1956 après JC/_ _ _ _ , pour l’autre date soyez patients). Tout ce qui m’appartient s’appelle revient et je leur donne un petit nom distinctif uniquement par affection.    Petit moyen mnémotechnique pour différencier un japonais d’un chinois, se servir d’un modèle étalon. Voir croquis ci-dessous.

           Japonais                 Chinois                Mamadou l’Africain

            O’  LI                       HO’  LEE                  AU LIT

         Champion                 Champion                Champion          du monde                 du monde                 du monde            au judo                 au ping-pong                  

Les japonais, très espiègles comme les chinois mais avec moins de fourbes rient, ce qui pourrait nous aider à les différencier, que nenni ils donnent l’impression de toujours rigoler alors que ce n’est pas vrai. Ce n’est qu’une expression immuable et figée à jamais. Difficile de savoir donc si un japonais se fout de toi, une japonaise si, elle est folle de moi.A moins que la génétique y mette son grain de riz. Les seuls qui rigolent pas, sont ceux qui travaillent dans les rizières et qui ont grand besoin d’irrigation et de rigoles.  Dans la tradition asiatique nippone, la rigolade est un art majeur qui fait du bruit et qui préfigure une chute. C’est le hara-kiri, ne pas confondre avec le rire hypocrite de celui qui rit à raz. Donc si vous n’entendez rien, c’est qu’ils ne rigolent pas, qu’il n’y a personne ou qu’ils sont déjà morts. Dans un  centre équestre si vous entendez rire multiple, c’est tout le haras qui rit. 

Mamadou donne aussi l’impression de toujours rigoler même dans le noir, alors que ce n’est pas vrai non plus. Pour le cas de Mamadou les études des scientifiques Gérard et Marcel,  ont démontrées et proposées deux alternatives, c’est génétique, ou alors c’est un rictus du à la faim ce qui est génétique aussi, d’après certains politiciens. Il y a un dicton en Afrique, Mamadou qui rit et Mamadou qui pleure, les deux ont faim. En conclusion en Asie on rie jaune, en Europe à l’époque de Vercingétorix on rie gaule et en Italie on rizotto quand d’autres ripaillent et que Mamadou a toujours faim. Au travers de cela on comprends mieux le monde et ses fractures, sans blague. Trêve de chinoiseries, de japon niaiseries et autres nègreries.

En fait tout le monde rie sauf  Germaine, qui a égaré son dentier depuis une semaine et ne le trouve plus.  Le seul point commun avec l’européen néo-classique et né entre les mains d’une sage-femme, madeleine, qui est une excellente sage-femme que nous recommandons, mais dépêchez vous avant qu’elle prenne sa retraite la semaine prochaine, c’est le Rire jaune qui parfois abonde suivant les circonstances. C’est un rire qui est feutré, un peu coincé et pas encourageant. A ne pas confondre avec la maladie, la crise de rire, pas franchement mortelle mais tout de même. 

Au contrario le rire franchouillard qui tient la route et qui tient ses origines dans les contrées reculées de la campagne profonde n’a pas peur de s’afficher en compagnies et ne se rencontre que dans ces situations grouillantes de monde, mariages, communions, bals populaires, fêtes de chasseurs c’est un rire gras mais qui ne tâche pas. Par contre on s’en détache facilement, et on sent des tâches de loin. Faut aimer. Par définition le rire franchouillard se pratique à gorge déployée comme les allemands, au début ça t’étonnes. Il est sans retenue et réclame des aptitudes qui ne se trouvent pas chez tout le monde sauf Marcel qui rie tout le temps. On le refera pas Marcel. 

Un rire tout particulier est à signaler. C’est le rire anglo-saxon non pas reconnaissable à son accent mais à sa courtoisie qui propose toujours aux français de rire les premiers. Ne dit-on pas aussi que leur art consommé d’entretenir les gazons en les coupant si courts permet ainsi à l’humour anglais de pourvoir s’exprimer comme lors d’une partie de croquet. Chaque année des compétitions d’humour sur gazon ont lieu, il semblerait que la terre battue, la pauvre, ne soit pas adaptée à ce genre de rencontres pourtant chaque année on en voit de drôles à Rolland Garros.  

Le rire teuton ou germanique, outre qu’il soit étrange,  est propre à ceux qui le développent de façon gutturale outre Rhin, d’où leur invitation à le goûter avec une bonne tranche de rire, dixit en s’esclaffant : « Gut, Gut ». Dans ces régions on s’esclaffe avec  un Arh ! majeur et consommé entre deux gorgées de bière et une saucisse. Ce n’est pas de la rigolade. Tout est sérieux chez eux même le rire pendant la guerre. 

Le rire du sud qui juste en dessous du rire du nord, reconnaissable car juste un ton au dessus, est un rire plus simple et plus accessible surtout à celui qui l’atteint. C’est le rire latin. Pratiqué comme une science dans certaines écoles, pas à moitié,  il ne fait pas de quartier. Il ne fait pas de quartier comme à Paris pour qui le rire est devenu capital. (hep psitt, les français ! nous sommes aussi des chauds latins qui aimons la plaisanterie, mais là les plaisanteries les plus courtes ne sont pas les meilleures) 

Plus à l’est, le rire slave comme les autres, tous nous le savons, de Marseille jusqu’à Belgrade.  Le rire russe quant à lui  est un rire chanté et dansé qui peut surprendre si on n’est pas averti, mais dans tous les cas ça te choque.  En conclusion définitive, rigoler est bon pour la santé quelque soit le pays où il se pratique, mais toutefois il n’est pas forcément exportable. 

Ainsi si Helmut, fier paysan de la Bavière, rit de sa voisine qui a glissée en rentrant devant chez elle, avec les 3 douzaines d’œufs qu’il venait de lui vendre et se sont répandues sur elle en forme d’omelette baveuse, moi ça ne me fait pas rire car on ne me prévient jamais quand ça arrive. j’en bave hier, aujourd’hui et peut être demain.

Ah ! Elle est belle ! la planète

Intro : You are so young and beautiful and I love you so

     
          Si, muni d’un bon appareil photographique, pour prendre des photos il s’entend, et si lui même muni d’un bon autofocus, (de l’allemand otto, vroum vroum et focus, le phoque qui comme chacun sait n’est pas très franc et dont on connaît les morses pour vous prendre par derrière, c’est une image), c’est à dire prendre des fotos de phoques en voiture, qu’observe-t-on sur la planète, que voit-on ? et non pas que voiture. 

Au nord la banquise avec tiens justement des phoques dessus, qui se prélassent et étalent lamentablement leur graisse insaturée où niche du cholestèrol bon et mauvais, comme les estivantes en maillot de bain, bonnes ou mauvaises, sur les plages des côtes méditérranéennes.

Au mois de juillet pour les juillestites et au mois d’août pour les aoûtiennes.

Quant à Juin et septembre on n’en parle à peine, car  ce ne sont pas de vrais cas de villégiature.Les autres on n’en parle pas du tout. Ce sont de pauvres gens qui n’ont même pas les moyens de se payer un café en terrasse à 3 euros la tasse ou une glace à 7 euros, les boules. Ça fait cher la boule.

Si ça se trouve, ils ont même pas d’Iphone. Donc pas très fréquentables.De là à dire que les femmes sont des phoques, il n’y a qu’un pas qu’il ne faut pas franchir. Certaines peut être, lorsqu’adipeuses le mimétisme peut surprendre et porter à confusion, même l’homme prêt à tout.

Même quand il est magnanime, très tolérant, anti-agoraphobe vis à vis des troupeaux de phoques, il a du mal à accepter le spectacle.Comment différencier une femme d’un phoque. Très simple, aux lunettes de soleil marqué rayban dessus. En cas de pertes de lunettes je vous plains, tout en compatissant avec moult regrets à foison de votre méprise.La chose est de toute façon entendue, on ne dit jamais pd comme une femme mais pd comme un phoque, bien que certaines femmes avec certains hommes ne sont jamais trop aidées.

Alors qu’un homme avec un homme peut induire qu’il est un peu phoque (en anglais se prononce fuck) et donc un peu trop pd.Toutefois nous reconnaissons le droit d’accés à ce mode de vie, tant que ce n’est pas un devoir, au phoque et à l’homme, même entre eux deux.  

Au sud encore la banquise, mais avec des manchots qui sont comme des phoques mais différents, et qui se les caillent en rangs serrés, en rang serrés comme les mêmes vacancières des plages du sud, du sud de la France, où chacune peut disposer d’un mètre carré, sans cuisine et sans salle de bains mais avec les services de Luigi qui peut vous proposer les meilleures glaces du coin. Sa spécialité étant les deux boules montées sur un gros cornet. A 5 Euros, 7 avec une boule supplémentaire. Ce qui je vous l’accorde fait beaucoup et prétentieux.

Et n’y voyez aucune allusion avec des faits existants ou ayant existés, ce qui serait fortement fortuit pour ne pas dire accidentel et imprévu.Pour les petits besoins naturels, Luigi propose également des services que certains qualifieront d’anodins mais qui ont leurs importances, du latex en sachet qui est un stock d’invendus non utilisés après les JO de Londres de marque dunlopino et des serviettes hygièniques du même cru, l’eusses-tu-cru, mais d’une autre marque. Entre les pôles, mon cœur balance.

On trouve alors des zones habitées, avec dessus, l’homme qui en tant que bipède est dit supèrieur si on le compare par exemple à un protozoaire, voir une amibe ou Marcel. Ah ! l’homme, alors qu’à Tel Aviv on dit shalom sans aucune distinction concernant l’hygiène. L’homme qui en tant qu’animal est déclaré, je le répète, supérieur. C’est à dire tout en haut de l’échelle. Il doit son rang à son érection survenue voilà pas mal de temps mais sur le tard quand même, date que nous ne préciserons pas car le temps est relatif. Ça on le tient d’Albert.

Alors que certains n’en ont plus eu depuis plusieurs mois, voir plusieurs années, de majestueuses superbes qui comme un obélisque, car tout concorde, se dressent et narguent tout alentour du haut de cet emblème phallique famélique, et ça s’appelle bander du con, à cause d’une prostate défaillante nécessitant une consultation vu, observé de la part d’un spécialiste à mon avis, non pas que je sois en panne mais en appartenance au monde médical.

Il tire, je vous en prie, l’homme en général, ça vaut pour un caporal tout autant, à défaut de satisfaction une grande fierté de son érection. Pour certains c’est justifié. Pour les autres, ils feraient mieux de se remettre à quatre pattes ou aller consulter. Voir de se taire, voir de se terrer.

Exemple de temps relatif ; Jacques demande à Pierre de passer le prendre, je vous en prie encore, en voiture; Pierre réponds oui tout à l’heure. Qui est un mauvais exemple car Pierre n’est jamais venu, ayant eu un accident d’échelle. D’où le proverbe « Pierre qui roule et qui pas ne passe, n’amousse pas masse ».Tous les ans des chutes d’échelles sérieuses, voir mortelles, font la une des faits divers principalement, en été par exemple.

C’est à cette saison que, fort de son habileté et de son érection, l’homme s’affaire, monte à l’échelle justifiant sa place tout en haut de celle-ci. Et il tombe, parfois de haut.     

Le monde ! alors là, je me régale.

Nous sommes en 1515. C’est loin. Il fait froid. Et nous ne sommes pas à Marignan, ni à Rimini en villégiature, alors où sommes-nous ? En plaine. En pleine éradication organisée par des souverains dans toute l’Europe, qui ont mis sous verrins toute une frange de la socièté. Ce groupuscule, supposé composé de sales hommes et de femmes coiffées de châles, ne disait jamais bonjour, rien qu’entre eux. Pour des questions religieuses. Du type si c’était une femme et un homme qui se croisaient « châle femme, sale homme ». Ce qui était courtois chez eux, sauf dans la version inversée « châle homme, sale femme ».

Ce qui effectivement vu de l’extérieur peut paraître bizarre de dire bonjour de la sorte et dans une langue qu’eux seuls possédaient, un autre monde quoi. A l’époque l’europe c’était le monde, souvenons-nous, et autour il n’y avait rien. Il serait bon de se le remémorer en ces temps où le devoir de mémoire est à la mode.

La situation a fluctué, de nos jours l’Europe c’est rien et avec le monde autour. C’est comme à l’image du nombrilisme, à force de trop le regarder, notre nombril, on ne voit pas la graisse.Les souverains, sous pression et fort occupés à cette grande lessive n’étaient pas seuls, heureusement, vu l’ampleur de la tâche.

Et il y avait beaucoup de tâches. Et nous savons aussi, que côté détergents ils n’étaient pas très avancés. Comme du côté savonnette.Ils étaient soutenus mais pas secondés par le pape, qui avait une sainte peur de salir sa soutane et nous savons la difficulté de nettoyer cet habit à cette époque moyen-âgeuse où on ne pouvait pas trouver des Mars glacés au Lidle du coin, ni même trouver des lames-rasoirs de rechanges Wilkinson.

Personnellement c’est la marque que je préfère.Nous le savons, Marseille était loin et ne fabriquait pas encore ce qui fait sa renommée mondiale comme le Français avec son hygiène, pour laquelle il a une excuse ayant une peau délicate, fragile et soumise à des réactions allergiques. C’est donc vous dire la platitude de cette époque.

D’ailleurs la terre était plate elle même, l’église le garantissait malgré quelques olibrius attardés de type copernichéen ou galiléen qui soutenaient le contraire. A cette époque il y avait franchement de quoi rire. Une terre pas plate, et pourquoi pas ronde tant qu’on y est. Cette éradication était plus que nécessaire.

En développant un peu, disons que ceci se justifiait avec une perspective claire et limpide comme l’eau de source quand elle est claire et limpide, ça coule de source, mais également dans le but de revigorer la nature humaine et lui donner de la force, en la sortant du trou moyen-âgeux dans laquelle elle se trouvait.

Et si l’échelle est un bon outil, inventé par l’homme, pour se sortir d’un trou en général, avec celui ci comme dispositif apporté c’est plus d’une échelle qu’il fallait et que n’avait pas l’humanité, aggravé par le fait que le contemporain de l’époque était de petite taille, nettement en dessous que celle de nos jours. L’échelle devait nécessairement avoir des espaces entre barreaux plus rapprochés.

Par exemple Ferdinand et Isabelle de castille avaient du mal à constituer une équipe de Basket, même à l’apogée de la grandeur de l’Espagne. Ce qui fait que cette dernière ne participait pas aux compétitions et était défendue de jeu. C’est pour cette raison inavouée, tue, passé sous silence même au niveau de la licence dans les livres d’histoire, que d’autres jeux apparurent dans toute la péninsule ibérique en liesse, à l’époque, du type « si je t’attrape je te mords ». Ou je te brûle.

Expression qui avec le temps se déforma, comme dans toutes les langues vivantes sinon elles sont mortes ou à peine des murmures, pour devenir mort aux Juifs qui était plus jolie et plus seyant à prononcer que mort aux Maures. Bien que des murmures se faisaient entendre et malgrè un niveau de décibels très bas on les entends encore de nos jours, qu’un maure-mort c’est mieux que d’attraper la scarlatine par exemple, qui est un bon exemple.

Car franchement la scarlatine, et nos lascards latins le savaient, c’est moche. Tout autant, rappelons que l’âge moyen d’espérance de vie qui se situait en dessous de cinquante, qui est la limite de vitesse en ville en ces temps où nous touchons, effleuront l’âge d’or, sauf mortalité subite lors d’une guerre de cent ans par exemple si vous aviez été recruté, rendait l’époque vivante, malgré la peste et les accidents de bûchers fréquents à la fête de la St Jean. Ce n’est que bien plus tard que les bourgs, les villes s’équipèrent de postes et d’équipes de sécurité incendie.Nous avons aujourd’hui les mêmes soucis avec les autoroutes, avec toutefois un taux de mortalité à la baisse mais un taux de natalité à la hausse, voir à la hussarde, il faut le souligner. Ce plan décénnal, qui dura disons le pour arrondir du 13éme au 19éme siècle, est à l’image ce qu’on appelerait en agriculture le défrichement et la jachère. C’est sain. Pour un meilleur printemps et un meilleur été à venir. En boucherie on appellerait cela cachèriser. Ce qui veut dire manger cachère et acheter en tout cas cher, enfin un peu plus cher. Ne pas confondre avec Karchériser qui est une espèce d’éradication, comme par exemple avec les rats qui est un nom dialectal ambigu et qui peut désigner en français plusieurs espèces de rongeurs, mamifères tout comme l’homme au demeurant, partageant souvent même son habitat ou habitant sur le même palier de l’immeuble. Car l’homme, à l’instar du rat, est sociable quand ça lui chante.

De façon nuancée, alors que le rat a développé une ouie supérieure il ne chante pas malgré la création de l'opéra, l’homme oui. Cette différence s’entends.Le meilleur raticide contre le rat, bien évidemment et à titre d’indices, étant fourni soit par votre municipalité ou chez le droguiste du coin du genre casto-machin ou brico-truc (flouté dans le texte). On n’a pas le droit de faire de publicité gratuite, c’est pourquoi je floute le texte, flut ! Alors.

En ajoutant en annexe et en plus que le meilleur raticide pour l’homme étant l’homme lui même. Chose qu’il n’a jamais su reproduire, dans son modèle de perfection et d’efficacité, et transposer à tous les problèmes qui se présentent à lui. C’est vraiment dommage. Quand l’homme s’attaque à lui même, il est grandiose en portant des habits magnifiques, magnifique avec des stratégies grandioses, prolifique en inventant des plans d’enfer et en découvrant plein de choses efficaces. C’est vrai aidé par quelques subterfuges ou zyklonvolutions, en respectant le dosage indiqué sur l’étiquette ainsi que le mode d’épandage, surtout en zone confinée, il est capable du meilleur. En ce qui touche le côté efficace. En extérieur, un épandage à l’aide d’un pommeau d’arrosoir, pour les analphabètes notoires et autres déficients visuels c’est comme une pommette de douche, donne de bons résultats mais bien meilleur en intérieur. Le port de gants et de masques est plus que conseillé et recommandé, cachet de la poste, dans sa version 2.6 où on ne mets plus fragile sur les colis depuis longtemps, faisant le bruit que vous voulez au choix, en téléchargeant votre modèle. Personnellement j’aime bien « ah !ah ! à la queue leu-leu ».

J’arrête là, car cela devient un peu trop technique, et ne laissons pas la technique nous envahir et prendre la part de l’esprit et du rêve.Une légère brise venant du nord-est, nord-nord-est, nord-nord-est-est la girouette n’arrêtant pas de bouger et la météo étant très précise en temps réel désormais, qui dure depuis plusieurs jours, y en a marre et « on se les caille », ajoute à cette froideur que l’on ressent bien malgrè l’inquisition et ses bûchers. Pour ceux qui ne seraient pas convaincus de la richesse de la langue française et qui trouveraient l’expression un peu trop triviale, « on se les caille », il vous est proposé le choix suivant : fige, coagule, solidifie, grumelle ou congèle.

Par contre si on se l’écaille, le froid n’est pas à la source du problème. Peut être une MST est alors en cause.A moins d’être au plus près, voir au centre, ce qui est fortement déconseillé, ma foi, surtout si vous n’avez pas de tulle-gras en cas de brûlures sévères, le bûcher est à éviter. Pour les inconditionnels, il y en a, remplacer tulle-gras par Biafine. Toutefois, on peut, ce n’est un secret de derrière les fagots, dire que le bénéfice du bûcher est discutable avec ou sans foi. Mais si on doit discuter de tout. En hiver soit. Toutefois les émissions de co2 sont énormes et un bois sec est vivement conseillé.Juste d’un point de vue historique, cela a-t-il servi à quelque chose, autre qu’à augmenter le réchauffement par effet de serres.

Et bien non, l’homme remit cela au 20éme siècle en s’attaquant de nouveau à la couche d’ozone, avec des chaudières tournant nuit et jour pendant des années.Ce qui n’est pas tout à fait juste, car ils n’ont pas tout brûlé.Dans les grosses fabriques et les gros chantiers il y a toujours des déchets. Nous devons à cette époque la prise de conscience universelle du tri et de son importance pour l’humanité. Enfin.

L’Allemagne détient le record mondial guiness, même en bière, depuis 1945 et personne n’a fait mieux, avec certainement la plus grande mise en bière au vu du nombre de participants évaporés. Pas même le Darfour ne peut prétendre à un score rapprochant, c’est pourquoi ils ont du mal à se qualifier aux jeux Olympiques. Pourtant les records sont faits pour être battus. En conséquence, on peut dire que la bière peut nuire à la santé. Copernic, pas tout seul, sa mère étant présente dans l’assistance du tribunal, est face à la mère Eglise. Elle lui reproche l’usage de gros mots (gros :du latin grossus  celui qui est toujours avec le petit, et mot :qui vient du bas latin mais aussi du palatin, de certains affirment qu’étant du bas latin ce n’est pas latin, mais bon, vient donc du latin muttum, qui aime bien au bas mot la compagnie des gros par pure démagogie électoraliste). Pourtant son éducation, sa mère en étant témoin, était sans reproche et digne de foi. Un témoin, rappelons le est une personne, voir un objet, neutre qui a entendu, vu un fait ou un événement et qui pourrait donc attester de sa réalité, je cite Wikipédia.

Alors donc quand on affirme t’es moins que rien, c’est vrai.Copernic longtemps, il était têtu, soutenait non seulement sa famille mais aussi que la terre était ronde, alors qu’elle était plate à l’époque. Ce qui est complètement ridicule et une hérésie en plus d’être une obscénité, il y a de quoi rire. Car tout le monde à l’époque savait qu’elle était, évidemment, plate. Aujourd’hui encore on le sait car elle ne tourne pas rond.L’humour, qui était du pareil au même peu pratiqué en cette époque grave aux accents aigus au moment où les flammèches venaient lécher les orteils de la suppliciée du bûcher si c’était une femme, qui comme chacun sait, chacun étant tout le monde et n’importe qui sauf les ignorants crasseux qui ne savent pas et ne s’lavent pas, cette même femme a une voix plus aigüe si on excepte la bucheronne, la nageuse aux hormones et Germaine la femme du boucher, l’humour donc, était variable. Et si c’était un homme me direz-vous, et bien il n’avait pas à se trouver là.

Le bûcher ne faisant pas acception de sexes, même opposés. Semblablement de nos jours comme au restaurant, déjà à cette époque c’était fromage ou dessert.Devant son obstination et son refus de nier, on peut dire simplement que ce dernier n’était pas un Saint, Nicolas. Galilée Galiléo, c’est un prénom qui ne s’invente pas comme d’affirmer la terre plate, qui était un suiveur en manque d’imagination comme seuls le sont les suiveurs, fit de même, en se faisant disciple de Copernic. Il ne faisait qu’à dire des gros mots lui aussi, ce qui laisse à penser qu’à  l’époque déjà ils avaient des soucis sur le plan éducatif. Et à partir de deux on est déjà face à une bande organisée.L’église sentant l’urgence, l’importance du danger qui menace, se dressa sur ses ergots comme un seul homme si c’était un poulet et sans ergoter réagit promptement pour une fois sans faire de bruits, si on excepte son silence durant 39/45 pour ménager les deux camps, qui d’ailleurs étaient plus nombreux que cela. Pour le reste elle ignorait l’existence des ces autres, billet d’excuses à l’appui faisant foi, elle qui en est gardienne. Il eut à répondre devant l’assemblée et le tribunal inquisitionnel tout simplement par une plate réplique : non !

Elle est un peu plate je vous l’accorde mais ce sont les seules minutes de l’époque en notre possession. Face au danger grandissant et menaçant l’équilibre instable d’une terre plate comme posée sur une barre, heureusement l’état et l’Eglise veillaient au grain, en amenant à sa barre toute cette délinquance menaçante décadente et déliquescente, qui pour l’instant n’était que deux mais qui par un prompt renfort pouvait se voir au moins 3 en arrivant au fort de la crise, et qui sait peut être 4.

Avec une organisation sans pareil et des sentinelles partout, même là, l’Eglise et l’état, l’état sous le sceau de l’Eglise et l’Eglise sous couverture de l’état, allaient faire de l’éducation leur fer de lance et leur cheval de bataille. Cela tombait bien ils maîtrisaient l’art du feu comme du fer et ils avaient plein de chevals.Je suis un fervent militant d’une réforme de la langue française, pour sa simplicité et la suppression des règles par exceptions du type « tous prennent, sauf ». Pour un accés plus facile à la langue pour le français moyen, voir en dessous, voir dans le canival. Voir étranger.Grâce à des missions coups de poings très bien organisées de type GIGN, de jour comme de nuit, un grand nombre de leaders pour ne pas dire tous ont été arrêtés, si je n’ai oublié personne. C’est bien fait pour eux.Cette école de pensée a de la vigueur encore de nos jours, en proclamant qu’elle n’est pas plate, alors que la planète ne tourne pas rond.D’ailleurs servons-nous de la preuve au travers de l’expression.

En l’occurrence nous opposerons plate et ronde. Là ça va, on parle de la planète, il en serait tout autrement si nous devions mettre la femme au centre du débat et des ébats. Et quant à l’Eglise, elle se défend d’avoir une démarche sexiste, la preuve, c’est elle, composée de beaucoup d’hommes, qui porte la robe exception faite des bonnes sœurs, qui ne sont bonnes que de nom. Il n’y a que dans la Grande Vadrouille où l’on voit des sœurs bonnes, à regarder. Sans sévérité, sans distinction et sans rejet pour les autres, les plates comme les rondes pourrait-on rajouter. L’état quant à lui, en l’état, prodigue des efforts pour compter dans ses rangs plus de participations féminines. Il y en a même qui ont pénétrées le GIGN, vu du côté policier c’est RAID. C’est dire la fulgurance du progrès des temps modernes que nous vivons.A l’instar de Frossard, prenons quelques preuves, non pas 36 pour faire non pas comme ou mieux que lui, alors que deux ou trois suffisent. Lui il ne s’occupait que du diable. Sans le froisser et sans crainte. Le froussard c’est celui qui dit qui est. Plate : battre à plate couture, plat ventre, plate bande, calme plat, faire de plates excuses, mer plate, faire du plat, une femme plate, mettre les petits plats dans les grands Rond: Rond de serviette,Rond de jambe, Ronds de fumée, Ronds de cuir, Ronds de l'épaule, Petit grand rond, Nerf du grand rond, Empêcheur de danser en rond, En rond, En baver des ronds de chapeau, En rester comme deux ronds de flan, Avoir des ronds,Couper quelque chose en rond, Danser en rond, Déployer quelque chose en rond, Enserrer une serviette dans un rond de se rviette, Être installés assis en rond, Faire un (ou des) rond, Faire des ronds dans l'eau, Garnir les sièges de ronds de cuir, Mettre quelque chose en rond, Ne pas avoir un (ou le) rond, S'asseoir en rond, Tourner en rond, Tracer un (ou des) rond, rond comme une queue de pelle Résultat du match : les ronds = 26, les plats = 9 On constate effectivement qu’il y a plus d’éléments traitant de la rondeur que de la platitude, alors que chez l’homme c’est l’inverse. Touefois cela n’apporte pas la preuve, à elle seule, que la terre est ronde. D’après les dernières études il s’avère que cette dernière se rapproche plus de la forme d’un œuf. Voilà des siècles qu’on en fait tout un plat.   

La C.Euh ! Euh ! Alors là ! je me régale.

Elle aboie pas mal, tousse beaucoup mais ne mords pas, tout en comptant beaucoup de morts dans ses rangs, comme de maures au reste. Pour les morts c’est l’effet mondialisation. Pour les maures c’est les faits.Les derniers recensements font état d’une présence inégalée qui fait de l’Europe une mauresque aux couleurs variées haute en couleurs, comme sur une carte de géographie qui serait aussi en couleurs. Les turcs qui sont bien vivants et pas maures eux, tout en étant présents partout car très doués dans les métiers du bâtiments. Habiles de leurs mains, les turcs font des trucs alambiqués, aussi des arabesques. Quand c’est un empire ottoman, ils aiment à faire la guerre et envahir les autres pays, avec leurs mains tout pareillement, entre deux pauses croissants. S’il n’est plus, l’empire turc n’envahit plus, on observe une recrudescence de nos jours qui connaît des ans pires autrement, avec une exode qui en prenant la route ou l’avion et cela va aussi croissant.

Les turcs ne sont pas comptés au nombre de la CEE, ils ne jouent pas dans la cour avec à la récrée, mais font la pause de midi comme tout le monde. Car la CEE c’est nous, et eux c’est eux.     

La France !Alors là, je me régale et je rigole.

Je ris Gaulois au demeurant, si on excepte les corses et la région PACA italianisants, les basques hispanisants, les Chtis nordiquant voir vikingisants, les Alsaciens teutonisants et tétanisés en cas de conflits et les bretons triskelisants qui sont face à la mer en tant que Celtes première pression à froid.

La France est reconnue mondialement, même si elle est désormais perdue sur la carte européenne, et je ne vous parle même pas de celle du monde, pour son art culinaire raffiné. Je me régale donc doublement. C’est mon pays et je ne suis pas spécialement chauvin, ou juste un peu, quand on gagne. Pas comme mon copain Laurent qui lui est très chauvin, surtout avec l’OM et surtout quand son équipe perds beaucoup en ce moment. De certains diront que Marseille c’est pas toute la France, certe. Mais à partir de là on pourrait affirmer que la France c’est pas toute l’Europe, que l’Europe c’est pas tout le monde et que le monde c’est pas tout l’univers.

Et l’univers c’est grand, un grand tout. Pour vous donner un ordre de grandeur c’est comme si vous vouliez aller à Moscou à pied, ben vous n’êtes pas encore arrivé. Avec l’univers c’est pareil, vous n’arrivez jamais mais en plus grand.J’aime tellement mon pays, que si c’était un prénom je le porterais. C’est aussi un prénom, pardon, mais féminin. Mon amour du pays ajouté à ma témérité ne peut aller jusque là. Jusqu’à renier ma génétique, quand bien même un hermaphrodisme latent est là se faisant sentir. Personnellement si je croise une fille qui s’appelle France, alors là tout peut arriver.

On comprend mieux avec un peu d’intelligence et beaucoup d’indulgence, l’invariabilité d’une grande partie du pays au moment d’une occupation.Difficile à joindre alors, le français réponds « je suis occupé ». Au féminin, la réponse est « je suis occupée », voir envahie. Or, fort de son expérience elle sait ce qu’elle répond après avoir été envahie pendant près de 4 ans.

La France détient le record mondial européen en matière de fécondation, avec un taux de naissance à la hausse constante, voir à la hussarde.Détail qui tient à son histoire tout au long des mouvements migratoires et envahisseurs des Huns et des autres.Détail, mais est-ce bien un détail, que l’on peut mettre en corrélation avec la taille du sexe. Le français moyen, que l’on peut situer au niveau de la mer et à la hauteur de 1500€ de salaire médian d’après les toutes dernières études et qui est né en métropole payant sa redevance télé et ayant sa carte d’électeur à jour, est médaille d’argent juste derrière le Bulgare en Europe et au cinquième rang mondial, pour quelques centimètres. Comme dirait Omar dans Intouchable « C’est bien ça ».Maintenant c’est pas une raison pour se la pèter.

Parce que les derniers recensements en matière de bien-être situe le français en bon dernier de la classe. Le français déprime. Quand je regarde la France, moi aussi, c’est pourquoi je la regarde de moins en moins. Technique éprouvée comme en allergologie, il faut s’éloigner de l’agent pathogène.Le français n’ayant pas le moral, cela rejaillit forcément sur sa libido mais sans incidences sur la natalité, seulement sur la fréquence et la qualité. On dira alors qu’il est en modulation. En modulation de fréquences mais il ne faut pas le crier sur tous les toits.Le français en plus d’être chauvin est susceptible et la moutarde lui monte vite au nez.En conclusion on peut dire que faudrait pas que le prix du pot de moutarde augmente, après le blé, le pétrole et les lames de rasoirs.            

L’Alsace ! Alors là ! je me régale, encore une fois, yopla, noreuhmol !.

C’est pas ma région mais j’y vis. J’y vis c’est tout. Je ne voulais pas en dire plus et m’arrêter là, puis finalement je me suis dit que ce serait tommage. Elle se targue d’être à l’origine du chiffre favorable en matière de natalité pour avoir un gros stock de cigognes, flanquée au slogan de « l’Alsace tabord, l’Alsace toujours ». L’alsacien (ne) est niais (e), on sait bien que ce n’est pas les cigognes qui sont à l’origine des naissances ; mais les choux. L’alsacien est versatile, c’est à dire se laissant envahir tantôt par l’Allemagne et demain matin, si le temps le permet, par la France. L’alsacienne aussi. Pour éviter le triolisme, évitons de l’envahir en même temps, c’est nettement mieux et plus correct, à moins que la demande émane de Chosiane ou de Chilberte à qui cela ne fait pas peur et qui prend les envahissements par dessus la jambe, à force. C’est vrai vu sous certains angles, du dessus ou en dessous, « la guerre à ses afantages ».

L’alsacien en général, bien que rarement militarisé sauf lors d’invasions, n’aime guère l’Allemand, car bien qu’à l’extérieur trop près et seulement séparé par le rhin et on lui a déjà fait le coup (le coup de reins aussi….pouf, pouf), et ne tolère que peu le Français car ce dernier étant de l’intérieur. Il est coincé entre les deux. Ce qui fait de l’Alsacien, ne parlons même pas de l’Alsacienne, un être coincé, à tendance léthargique un peu comme une cigogne dans le même état et dans la même région. Car il n’est plus occupé depuis longtemps, depuis trop longtemps. Bien que besogneux il est en manque d’occupations peut-on rajouter.

A l’intérieur de la région règne la division, bien après que celle de Leclerc soit passée d’abord par la Lorraine dans le but de délivrer les cigognes qui ne pouvaient plus nicher sur les toits pour y faire leurs nids et se reproduire, voir le bel ouvrage sur la question « cigogne m’était conté » d’Albert Schultz, tiré à un seul exemplaire très difficile à se procurer. Il est à souligner encore, comme une nouvelle naissance, que la délivrance de la France donc de l’homme tombait à pic. Car souvenons-nous dans quel état nutritionnel se trouvait le pays, se nourrissant essentiellement que de pastilles vichy, qui sans être trop indigestes peuvent provoquer des troubles gastriques aux demeurants comme pour l’occupant, avec un effet contraire non désiré comme sur la voix, nazillard notamment.Avec le bas Rhin au dessus et le haut Rhin en dessous, si on regarde une carte de manière classique avec le nord au nord et en haut. Le haut-rhin est en dessous, de tout.Pour le bas-rhin qui est toujours dans un esprit de rivalité, c’est guère mieux car bien qu’au dessus il est encore plus en dessous. On peut donc résumer la chose ainsi, le Bar-rhin est en dessous de tout, de tout. Pour vous dire et toujours sur la même carte, en la redéployant si vous venez de la plier, on constate que les deux départements se touchent, mais c’est bien la seule occasion. Ainsi voit-on guère, comme un espèce de conflit, de mariage pluri ethnique entre les deux Alsaces. Pour vous dire encore, l’un et l’autre feraient plutôt le choix de la consanguinité au mélange nord-sud. De toute façon, c’est trop tare. Ce qui démontre bien le schisme, la rupture, la séparation entre les deux départements ; ils vont jusqu’à empêcher les cigognes à se mélanger, les cigognes du nord au nord et les cigognes du sud au sud. Dans toute liaison nord-sud, chez les cigognes, les coupables sont abattues sur le champ, ou sur le toit.  Les Alsaciens ne s’entendent pas, ne se comprennent pas tout comme moi, se plaignant, l’un parce qu’il est au dessous de l’autre et l’autre cherche encore la raison si ce n’était le dialecte. Une inversion des pôles n’apporterait aucune solution et ne ferait qu’intervertir la situation, ce qui de mon point de vue est renversant et fait de l’Alsace un cas unique pour laquelle on peut quand même délivrer un prix unique.Si on se limite aux départements, on distingue près du Rhin à l’Est les Alsaciens les pieds dans l’eau et au pied des vosges les Alsaciens de l’Ouest qui se comprennent à peu près en disant de temps en temps « bonchour ! ». Mais on ne peut en dire autant, toujours dans le même département de l’Alsacien du Sud près de la Suisse, car la France et la Suisse se touchent à cet endroit là elles aussi, sans jouer aux boules et de l’Alsacien du Nord qui lui est tout près de l’Alsacien du Sud du département Nord de l’Alsace. Oui je sais, il faut suivre. C’est tout ce qu’on vous demande d’ailleurs.De toute façon je ramasse les copies quand ça sonne.  De fait l’Alsace est bigarrée, c’est à dire en double files normal car composée de deux départements, c’est un patchwork d’hommes et de femmes formant un tout, les Alsaciens, qui n’utilisent pas la même langue, le même dialecte. Ça avait la couleur, ça avait le goût mais ce n’était pas du Canada eins zwei drei. On dit aussi qu’elle est panachée, moitiè limonade et moitiè jus de houblon, d’autant plus facile pour elle car un autre pays de la bière. C’est la raison pour laquelle tour à tour, l’Allemagne et la France d’un commun accord qui déboucha d’ailleurs d’un point de vue historique sur l’union Européenne, envahirent et annexèrent la région dans le but de leur donner une langue commune, pour qu’ils se comprennent, à défaut de s’aimer mutuellement, et de piquer leur bière. Sinon hormi la cigogne et le bretzel, l’alsace comme l’alsacienne vaut le détour, à moins de l’envahir franchement de front et sans embage lors de la troisième guerre mondiale qui aura lieu demain matin si le temps le permets après le petit déjeuner. Je serai peut être en retard, car j’ai une course à faire au monoprix.      

Scène 2 : le courrier, le facteur (Panneau village : Fouilly - accessoires : facteur arrive avec seulement un guidon et une sacoche)

Le facteur Marcel arrive chez Mme trumeau :

-     bonjour Mme trumeau, alors comment ça va ce matin, on pète la forme, non c’est vrai j’ai bien pensé à vous après votre opération du colon et du rectum, des fois je me dis ça doit pas gazer fort !

-         des fois  j’ai pas l’air, mais ça va quand même

-         oui c’est comme mon vélo

-         ah bon ?

-         ben oui il a pas l’air des fois, alors il faut que je le gonfle un peu (coup de coude et rire)

-         alors vous monsieur Marcel toujours le mot pour rigoler

-         au fait maintenant qui vous ont tout enlevé, comment vous faites pour…..

-         ben j’ai une poche

-         ben ça vous en fait une de plus, avec celles que vous avez sous les yeux, mais ça c’est l’opération et puis, vous n’êtes plus toute jeune Mme trumeau, combien ça vous fait déjà, 75 printemps et l’hiver approche !

-         et oui, vous m’apportez quoi aujourd’hui

-         y a que des bonnes nouvelles, y a que de la publicité Mme trumeau, c’est comme ça maintenant, faut consommer et consommer encore, même si on n’a plus faim, il faut faire comme les oies, se gaver et se gaver encore, bientôt y fournirons l'entonnoir avec les paquets de pâtes ou les boîtes de conserves.

-         ah oui ça c’est vrai, mais tout est cher, la viande, les fruits, les légumes, enfin tout

-         ben moi pour les fruits et les légumes j’ai une astuce

-         ah oui !      

-         oui je vais au magasin, et je prends que ceux qui sont un peu pourris et je demande une réduction, comme pour vous avec votre carte vermeille et c’est dans la poche ! enfin excusez moi c’est une expression

-         ah dites Monsieur Marcel j’ai une lettre à envoyer

-         d’accord mettez là dans ma poche, ma sacoche je veux dire

Madame marie 

Quand soudain je me suis vu

En train de dévaler l’escalier

Après avoir glisséJusqu’au rez-de-chaussée

C’est à cause de Madame Marie

Avec sa drôle de manie

De toujours vouloir cirer

L’escalier 

C’est bizarre quand on pense

Aux événements de son enfance

Combien on a été marqué

Par les choses passées

La vie est un médicament

A l’effet de l’Onguent

Après les chutes à la récré

D’écoliers 

En Bretagne ces années

Où tout ça s’est passé

A côté de St Malo

Cité au bord de l’eau

Je conserve tous les souvenirs

Des rochers des menhirs

Et Que l’on gravissait comme des

Escaliers 

Mon enfance à lorette

Petite cité coquette

Dans la ville de St Servan

Joli département

Des journées entières à la plage

Qui se tournent comme des pages

Et puis de toutes les dévorer

Presque à lier 

Très souvent je me souviens

De tous ces liens

Même de madame Marie

Qui a sévie

Sur ma vie,  surtout sur mes fesses

Une drôle de kermesse

Comme j’aimerais encore dévaler

L’escalier

La nuit un cri jaillit
On a brûlé des autos
Pas seulement à Paris
De Strasbourg à bordeaux
Que va faire cette femme
Sans sa seule richesse
Arpenter le macadam
Tous les jours sans cesse

Je n'ai plus de voiture
Elle est toute calcinée
Ma pauvre petite voiture
Pas encore tout à fait payée
Sans travail c'est un comble
Je suis mise à pied

Pour trouver du boulot
Pas facile d'ordinaire
Faudra se lever tôt
Sans le plein de super
Merci à toi mon frère
De me pousser ainsi
Dans ma misère
Faire des économies
Je n'ai plus de voiture
Elle est toute calcinée
Ma pauvre petite voiture
Pas encore tout à fait payée
Sans travail c'est un comble
Je suis mise à pied
L'enfant que j'ai en moi
Sera là très bientôt
Il n'a pas vu tout ça
Dans son monde tout est beau
C'est un drôle de cadeau
A la veille de noël
Un enfant dans ses eaux
Tout ça est bien cruel

Le respect se véhicule
Et Dans la vie s'articule
A pied ou en vélo
En voiture ou bien en métro
Mais pas quand on simule
Pas quand on se dissimule
Même derrière des ghettos
De vouloir le monde plus beau
Surtout lorsqu'il brûle
A coups d'auto

J'suis mort dans mon auto
Mon seul bien mon logis
Même avec un boulot
Tout seul sans abri
Et c'est comme un loto
Sur la grille de la vie
Qui coche les numéros
Les grands comme les petits

Une grave nouvelle  

Une grave nouvelle est annoncée

La dernière fleur s’est suicidée

Elle en avait marre d’être saturée

Par la pollution et la fumée 

Bien que l’homme l’ait apprivoisée

Dans sont petit pot conditionnée

Elle rêvait de courir dans les prés

Comme ses ancêtres au mois de mai ! 

Elle est partie subitement

Sans laisser de testament

Nous laissant seul dans l’ouragan

Nous laissant regretter le printemps 

Le monde entier pleure la mort

Du végétal qui a eu tort

N’avoir su vivre en accord

Avec ceux qu’on nomme humain encore 

Cette chanson je la dédie

A toutes les gentes floralies

Afin que ne tombent dans l’oubli !

Toutes ces fleurs qui font la vie

Oraison de la nature.                                                                  

Mais voici le printemps

Avec ses fleurs des champs

Dans son manteau embelli

Nous chante et nous sourit

Printemps si gai

Oh ! tu me plais

Laisses moi te voir

Juste un petit regard

Je regarde le spectacle mais il faut laisser la place

Pour toi c'est terminé et arrive ton frère de race

Mais voici l'été

Dans son habit est paré

Il joue avec les lumières

Les diffuse sur la terre entière

Eté si beau

Tu ne dis mot

Aurais tu peur

Ou mal au cœur

Notre ami nous quitte et se voit congédié

Un cousin éloigné de sa gloire l'a privé

Mais voici l'automne

Saison monotone

Ne pleures pas petit

Toi aussi tu es joli

Automne si tendre

Qu'as-tu à attendre ?

Ton cousin germain

L'hiver ce mal sain

Soudain la nature s'est retrouvée, dépouillée et nue

Où chacun tousse, s'enrhume et éternue

Mais voici l'hiver

Et d'un coup de revers

Nous saisit et nous surprends

Puis étends son manteau blanc

Hiver si froid

Pourquoi fais tu ça ?

Non ne te fâche pas

On t'aime aussi toi

Et ainsi recommence

Toujours la même danse

C'est extraordinaire

La création sur terre

Je voudrais vous laisser un tout petit message

Regarder la nature quel que soit votre âge

Sachez l'apprécier vous en tirerez avantages

Défendez la, aidez la, évitez- lui le carnage

Nature si belle